C’était le soir d’une plaine lune, les gardes dans les rues faisaient leur ronde comme toujours. La douceur du vent du soir se frottait contre le souffle de l’air des hommes qui étaient dans la cité. Presque tout le monde dormait, du moins, dans le cartier riche de Minas Tirith.
Dans l’ombre de la luminosité de la lune, deux marchands discutaient et échangèrent quelques objets précieux que beaucoup cherchaient :
-Tien, voilà ce que tu cherchais…
-Bien, nous nous reverrons pour d’autre information à ce sujet. Au revoir confrère…
D’après ce que certaine personnes entendaient dire, les deux hommes faisaient partis d’un regroupement commercial malfaisant dans la Cité des Rois. Peu de monde le savait, mais sens le savoir, ils réussissaient toujours à contourner la garde. Pendant que l’un d’eux parti, l’autre faisait de même de son confrère, il partit de son coter dans des ruelles très peu peupler et sombre. Mais se qu’il ne savait pas, du moins, pendant quelques minutes, c’est qu’il se faisait suivre par un autre homme qui se dissimulait très bien dans l’ombre et la nuit. C’est après un changement de ruelle qu’il vut un homme au menton blanc, caché par une capuche aussi rouge sanglante que tout le reste de ses vêtements. Il n’avait pas le choix! Il devait fuir le plus vite possible parce qu’il était devenu la cible!
Il courut pendant quelques minutes, il traversa quelques chemins peupler de garde ou de paysans. Ceux qui étaient sur son chemin se faisait pousser ou même plaquer au sol, il devait passer de l’autre coter de la rue pour échapper à l’homme en rouge. C’est rendu quelques mètres plus loin qu’il se retrouva dans un cul-de-sac. Il cherchait ou s’enfuir en fixant de tous les coter. Il se croyait bien chanceux quand il vit une échelle qui menait sur le toit. Quand il fit rendu sur celui-ci, qui était plat, il se retourna rapidement et regarda dans la ruelle pour voir si l’homme avait arrêté de le suivre. Quelle chance d’avoir trouvé cette échelle se disait-il… Mais c’était de la mal chance car pendant qu’il croyait avoir été sommer, son prédateur le prit par l’arrière et réussi à le couché au sol dans l’ombre d’un autre bâtiment plus grand et qui dépassait celui d’où ils étaient. Armer de sa dague qui était pointé en dessous de son coup, l’homme en rouge commença par prendre la parole.
-Dit moi ce que ton confrère t’a dit…
-Je ne suis pas un traître moi! Je ne dirais rien!
-Évidemment… je crois que tu es en mauvaise posture pour parler, aller, dit moi ce que tu sais! Sinon tu ne verras plus jamais le jour petit!
-D’accord! Il me parlait d’un endroit ou que je devais me rendre.
-Quel endroit !?
-À Edoras! Une caravane m’attend pour y aller demain! Et je dois faire vite pour me préparer!
-Et J’imagine que tu attendras quelqu’un là-bas ?!
-Oui! Et cet homme sait des choses que tu pourrais chercher!
-Bien alors…dans ce cas.
-Si tu m’épargnes, je te dirais où il se trouve!
-Et tu crois que je vais te laisser partir…? Tu fais fausse route.
Après cette phrase, l’homme n’avait pas eu le temps de parler, il se fessa transpercer une dague à travers la gorge. Par la suite il prit l’objet sur le cadavre qui était au sol : c’était une lettre qui disait les emplacements d’où était l’homme dans la cité du château d’or. Après avoir réussi à cacher discrètement le corps, ou personne ne pouvait le trouver, il prit son cheval et partit vers Edoras. Il se disait bien que son cheval irait plus vite que la caravane.
Après quelques jours sens repos pour le cheval, il voyait au loin sur une grosse colline, la cité des Rohirim. Quelques jours passer là avec comme alibis de se faire faire de nouveau vêtement, il réussit à trouver l’homme avec les emplacements qui était écrites dans la lettre. Cela tombait pille à un endroit sombre ou personne ne fréquentait. Vêtu de différent vêtement cette fois-ci, il rencontra le paysan qui lui marmonna la première phrase…
-C’est toi, celui que j’attends ?
-Qui attendrais-tu d’autre ?
-Personne ahahha! Il faut toujours être sur avec qui que l’on parle de nos jours! Beaucoup de traître j’ai vu, mais aucun m’on attrape vivant pour les informations que je sais.
-Je n’ai pas vraiment le temps de discuter en ce moment, pouvons nous passer à la discussion qui m’amène ici ?
-Oh un homme très préoccuper à ce que je vois. Bien, discutons alors… J’ai quelques bons fruits à te montrer! Ils sont excellents et je suis sûr que mes amis du Gondor vont bien les aimer!
-Je ne viens pas pour des fruits.
-Alors, pourquoi es-tu venu ? Pourtant, ton chef devait te l’avoir dit non?
Alors qu’il posait sa question, un mouvement négatif se fit donner au paysan et un coup crucial entre la clavicule et le cou avec une dague. Le sang allait de tous les coter et pour ne pas se faire repérer, l’homme sous le nom de Tiburius devait étouffer les cris de la victime avec sa main devant la bouche de l’homme poignarder. Pendant que le sang coulait et qu’il restait que quelques minutes à vivre à l’homme, il devait faire vite pour soutirer quelques informations importantes.
-Je suis un assassin et je fais se travail pour une bonne cause, alors dit moi se que tu sais sur la jeune femme rousse qui se dit être Zahira.
-Je ne sais presque rien sur cette affaire, j’ai juste vu…son physique…Une recrue du Gondor l’embrasser et …
-Et quoi ?!
Mais c’était trop tard, l’homme était mort maintenant. Il devait trouver un autre parcourt pour atteindre la jeune Rousse. Et pourtant, les parcourt étaient de plus en plus dure pour lui, il avait appris il y a quelques jours, par un vieil homme qui se disait être son père devant le percepteur de l’Intendant, qu’une des bonnes connaissance de la Recrue était morte. Mais il se disait bien qu’il ne devait pas lâcher prisse… Maintenant qu’il savait quand même beaucoup de choses sur elle, il devait aller avertir son maître pour peut-être avoir de l’aide. Mais avant tout, il devait partir du Rohan la vie sauve. Pour commencer, il cacha le corps dans une grande poche et partit avec à l’extérieur des murailles de Edoras. Rendu bien loin, il commença à enterrer la poche. Pour être encore plus subtile, il alluma un feu par-dessus le corps enterrer et brûla son linge tâcher légèrement de sang. Avec du nouveau linges neuf, il reparti à Edoras pour voir la couturière.
C’était un travail bien dur pour elle, parce que l’homme lui demandait une couleur rare. Mais celle-ci réussi à passer au travers de sa commande. L’homme revêtu de rouge devait partir maintenant, même d’après la menace d’une créature ailée dans les coins d’Edoras. Son maître était très loin et il devait le voir à tout prix.
Pendant qu’il réussit enfin à se rendre devant les portes de Minas Morgul, ou son maître habitait, il avait ressenti un sentiment qu’il n’avait pas ressenti souvent : La peur. La Peur de voir des énormes trolls devant lui, qui les fixaient tous et qui devaient sûrement le prendre pour de la viande. Il avait de la chance d’être escorte par une bande d’orque, sinon il n’aurait sûrement pas revenu de cet endroit maudit des dieux. Rendu devant l’énorme tour qui était aussi la tour du grand Roi Sorcier d’Angmar, il devait monter de longue et pénible marche noire et sombre. De plus en plus qu’il montait, plus le noir envahissait la lumière verte qui faisait de la luminosité dans la cité. Rendu dans une sale, il voyait son maître qui devait sûrement l’attendre. C’est après quelques paroles bien puissante et froide que Trynis réussi à faire sortir l’homme.
-Approche Tyrael…
-Je viens vous apportez nouvelle et informations maître.
C’est après quelques minutes de peur face à une telle puissance que l’homme, qui était en fait Tyrael, raconta tout ce qu’il savait sur la jeune qu’il espionna. Quand les informations avaient été données, le maître remis une bague rouge avec des motifs de serpents dessus. Et ce n’était pas tout, il avait un nouveau plan pour la jeune fille qui était en Gondor. C’est avec un nouveau plan dans les mains qu’il disposa pour partir vers sa quête.
Pendant qu’il partait pour retourner en Gondor, il réfléchissait. Le mal qu’il faisait était terrible, mais il devait le faire…Pour avoir une justice, il devait tuer…