Une nouvelle Mission.

Chevalier du Soleil noir

Le jour venait de se lever, le soleil frappait la cité blanche de plein fouet. Les éclats des rayons faisaient presque mal aux yeux à travers les tuiles propres et avec aucune saleté dessus. C’était le jour déjà et Tiburius devait faire vite, parce qu’il serait sûrement châtier pour être en retard… Parce que dans le coter opposé de l’est, les rumeurs disaient que le maître était sévère et ne laisse pas une deuxième chance à ceux qu’il faisait confiance.

Pendant qu’il marchait dans la cité, accompagner d’un bruit de métal au sol, à cause de ses pantalons fait d’un minerai, il se fit arrêter par la recrue Crin et un garde qu’il avait déjà croisé. Ceux-ci discutèrent un peu avec lui pour ensuite lui faire faire un interrogatoire sur ses origines. Ce n’était effectivement pas la première fois qu’il avait un interrogatoire de ce genre. Mais c’était le plus bizarre qu’il eut. Cela faisait quand même plusieurs mois qu’il était maintenant citoyen de la cité blanche et quelques gardes n’étaient même pas capables de le reconnaître…

Mais la journée avant aussi des bons coter… Une alerte aux trolls fut crier par un homme qui arriva à cheval, celui-ci mit clos au sujet que les 3 hommes qui discutaient. Cela ne prit que quelques minutes pour se préparer. De son coter, Tiburius plaçait dans un sac des vêtements de rechange qui étaient discret pour aller rencontrer son maître.

Quelques vingtaines de minute après, des soldats de la cité blanche était rendu à la cité détruite. À coter du Caporal Draven, de la recrue Crin et d’un garde, Tiburius cherchait prudemment de son coter. Comment allait-il réagir face à un troll plus puissant que lui devant des personnes du Gondor ? Il n’avait plus le temps de ce demander cette question, le troll avait déjà été repérer et il se tenait dans le Palais. Pendant que quelques ordres étaient donnés par le Caporal de la cité blanche, la troupe réussir à entrer dans le Palais sens problème. C’est Après avoir descendu les escaliers de celui-ci qu’ils trouvèrent des corps au sol à coter du troll noir. Tous étaient silencieux pendant ce temps, ils réussirent à traverser dans une autre pièce avec quelques débris dedans. Un plan était fait par le dirigeant de la troupe, ils devaient essayer de faire fuir la créature en chargeant dessus.

Le Plan maintenant tous comprirent par les soldats à l’insigne du Gondor, ils sortirent de la pièce en chargeant sur la créature d’une façon frénétique pour essayer de faire fuir le troll. Mais ce qui était dommage, c’est que le troll ne semblait pas avoir peur quand il sortit un puissant cri de sa bouche. Ils ne pouvaient plus reculer maintenant, ils devaient maintenant frapper le troll de toutes leurs forces. Ce que quelques-uns réussirent à faire. Et pourtant, même si quelques personnes comme le Caporal réussir beaucoup à l’affaiblir, le troll les envoyait brutalement contre le mur de l’Ouest ou du Nord. C’est après quelques coups que le troll réussi à donné qu’il restait Tiburius et un garde. Les deux hommes aussi braves que les autres réussirent à faire replier la bête à l’extérieur du Palais. C’était sûrement de la chance pour ceux-ci…

Quand Tiburius réussi à retrouver le Caporal, il l’aida à se relever doucement. Celui-ci donna quelques ordres, les soldats qui restaient devaient quitter le Palais. C’est à ce moment, dans le feu de l’action, que Tiburius prit son cheval et partit vers l’opposer du combat pour rejoindre son maître. Sur un long chemin, il voyait la terrifiante cité du Roi Sorcier d’Angmar. Il faut dire que Tyrael n’avait pas le choix d’y aller même s’il n’avait presque aucune chance de survivre. Avec un passe, il réussi à entrer à l’arrière des portes et il se rendit a la tour d’où les réunions se faisait souvent avec son maître. Habiller de son habit d’assassin noir et blanc qui reflétait n’importe quel lumière, il réussit a se rendu à la sale du Trône du plus terrifiant de la cité. Armer d’une dague en cas d’un piège, il sortit de l’ombre pour se retrouver devant son maître qui était devant lui. Une nouvelle mission était destinée à l’assassin. Pendant que quelques mots étaient en train de s’échanger. Quelque chose détendait les marches de la haute tour de Minas Morgul. La noirceur n’aidait pas trop et n’y les habits de la chose. Mais c’était certain qu’elle portait une armure avec les lourds pas qu’elle faisait.

Quand celle-ci réussi à atteindre la fin de la dernière marche, un frisson touchait le dos de l’assassin. La chose était toute en noir, sa capuche ne pouvait même pas faire apparaître le visage qui était au fond de celui-ci. Cela ne prit que quelques secondes, quand l’homme vêtu richement d’une couleur rare réussi à comprendre qu’il faisait affaire avec un Spectre de l’anneau, maître puissant du Mordor, grand cavalier noir, il plaça sa dague sur son cœur et se mit rapidement en position pour l’honoré. Le Maître Trynis qui était en diagonal de lui faisait la même chose, quelques secondes de silence étaient dans la pièce. Personne n’osait parler en présence d’un seigneur des ténèbres. Après avoir attendu suffisamment, le Spectre continua son chemin pendant que Trynis le fixait d’un regard noir, aussi persan que celui qu’il lançait au Snaga du Mordor. Quand la voie fut libre, le maître se leva doucement et recommença à prendre parole pour la mission. Après une longue explication sur la quête que Tyrael devait faire, Trynis sortit quelques mots :

-Ma Confiance est fixer sur toi, ne me déçois pas et ne me fait surtout pas regretter de t’avoir choisi pour cette mission…

C’était les derniers mots, l’homme a la dague recula doucement vers l’arrière et reparti dans l’ombre de la cité du Roi. Il ne devait surtout pas déplaire au maître, il ne savait pas ce qu’il l’attendrait sinon…

Chevalier du Soleil noir

Dans l’une des ruelles de la cité des Rois, Tyrael marchait doucement. Dans une habit fait de soie, son ombre le suivait quand il passait dans un endroit de luminosité. Un large sourire, qui pouvait le rendre fier de son acte était sur son visage un peu bronzer. La première demande que son maître lui avait demandée, venait d’être accompli. La mission que celui-ci lui demanda avançait de mieux en mieux. Maintenant, il devait attendre la suite…

Chevalier du Soleil noir

C’était le jour, Tiburius réussit enfin à atteindre les portes de la Cité Blanche. Pendant qu’il entrait avec plusieurs gardes et marchants, il se souvenait encore de la longue explication sur la quête qu’il avait. L’assassin se tenait devant l’Immortel dans la plus grande tour de Minas Morgul, ou se tenait l’ancienne ombre d’Angmar. Bien assit sur une chaise dans la salle du trône, le maître commença par expliquer pourquoi la mission était entre les mains de son espion.

-Il y a quelques temps, avec l’aide de la Horde Sanglante, nous sommes allés cherche deux objets très important pour une quête qui aura lieu dans le secteur que tu espionnes. Depuis que je détiens un objet magique, sous le nom de Relique, et un œuf d’un nid d’araignée, j’ai eu une idée. Pendant que tu étais sur une autre quête que je t’avais donnée, un de tes confrères est parti acheter un local dans les rues de Minas Tirith. Bien cacher dans le sous-sol du bâtiment, la Relique donnera naissance à l’araignée dans l’œuf. Et mieux encore, celle-ci multipliera les araignées. Il y aura un carnage! J’en suis sur! Beaucoup mourront! Voilà ta prochaine mission. Un Marchant, sous le nom de Darmont remplace un homme que je connaissais. Il se nommait Cedhen. Celui-ci était en charge des enchères dans les rues de la Cité. Après une mystérieuse disparition, Darmont prit la place de son associé. Mais son prédécesseur connaît le plan que je suis sur le point de faire. Ta quête sera de le surveiller, de le menacer de mort et de le tuer quand la Relique aura fini sont travail.

Les dires de son maître étaient très importants pour lui, cela pouvait quand même lui coûter la mort en quelques secondes. Mais alors qu’il marchait doucement dans la cité, il trouva sur son chemin le marchant de renommer. Cela prit quelques jours, ou même avant que Tiburius eu le temps de faire quelques choses. Après avoir parlé souvent avec l’homme, après savoir fait soupçonner aussi, il réussit à entrer par infraction dans le lieu ou se situait les enchères. Déguiser en Rohir, celui-ci était presque sur de ne pas se faire prendre. Surtout avec le super alibi qu’il s’avait fait.

-Bonjour, vous êtés Darmont ?

-Certe certe, que puis-je faire pour vous ?

-Je viens vous vendre quelque chose de très spéciale. Une Arme superbement rare que j’ai trouvée.

-Je vois le genre d’arme que vous parlez. Oui, oui. Venez, nous allons voir ce qu’on peut faire. Comme l’échanger ? Allons dans une autre pièce.

-Bien! Je vous suis!

C’était bien l’alibi parfait pour qu’un idiot se fasse prendre. Pendant que les hommes changèrent de pièce, où il n’y avait aucun garde, Darmont montrait au Rohir tout ce qu’il avait en stock. Pendant un instant de silence et que le marchant était de dos, la fausse tête de paille sorti sa dague, prit la bouche de l’homme pour ne pas qu’il hurle et plaça la dague en dessous de son coup. En regardant autour de lui, le Cavalier du Nord commença à demander quelques questions à la victime.

-Gardez le silence, sinon vous allez mourir.

-Hummmffff! Humpfpp!

-Gardez votre calme! Et Répondez au question que je vais vous demander…Je sais ce que vous savez. Savez-vous de quoi je parle ?

Après quelques instants de silence et de marmonnement, le Rohir avait enfin comprit pourquoi l’homme ne pouvait pas parler. Simplement parce que sa main était encore sur sa bouche… Il enleva celle-ci en prenant garde.

-Je sais que vous avez ma fille homme du Rohan. Libérez-là et surtout, ne me tuez pas.

-C’est moi qui parle sale Imbécile ! Savez-vous de quoi je parle, oui ou non ?!

-C’est ma fille qui fait partie de l’enquête.

-Hum? Je parle de ce qui sait passer avec votre ancien collègue.

-Ah! Oui, oui, je le savais.

-Homme Marchant, vous n’êtes mieux de ne pas parler de l’histoire qui sait passer avec Cedhen, sinon vous allez mourir.

-Si je ne dis rien, vous allez libérer ma fille ?

-Comme vous voulez, mais si vous parlez à qui que ce soit, de ce qui se passe, vous ne la révérer plus jamais. Comprit !?

-Oui.

-Maintenant faite moi sortir d’ici et discrètement surtout. Je ne veux pas finir dans l’une des prisons d’ici.

Cela prit quelques secondes, le Rohir était déjà à l’extérieur et sans que les gardes autour se soient rendu compte de quelques choses. La sueur au front, Darmont était presque sur le point de mourir, mais il avait maintenant la balle dans son camp. Des jours passèrent, maintenant que Tyrael était sûr que le marchant allait parler du Rohir qui l’avait menacé, il devait agir et rapidement. Il partit faire un petit voyage dans le sud en apportant sûrement quelques soupçons avec lui. Après quelques mois, il retrouva Darmont. Il marchait avec un large sourire à son visage, comme s’il avait eu beaucoup de pièces il y a quelques temps.

C’était bien la hâte de tuer le profiteur d’enchère que Tiburius avait. Il se faisait discret et espionnait plusieurs personnes en même temps. Son savoir était de plus en plus grand et il s’attendait sûrement à de plus grande quête dans le futur. C’était ce qu’il croyait du moins.

Pendant que l’homme marchait avec son armure grisâtre, il décida d’aller vers la place marchande de Minas Tirith. Qu’est-ce qu’il vit sur son chemin? Des gardes devant la porte, des grosses araignées tuer au sol. Surpris par ce qu’il voyait, Tiburius se demanda si le plan de son maître avait déjà commencé. En s’approchant rapidement, il vit bien que c’était le cas. Le Caporal et quelques gardes étaient en traîne de combattre les créatures pour ne pas qu’elle envahisse la Cité. Armer jusqu’au dent, Tiburius regardait l’action se passer dans le bâtiment. Un mince sourire était sur son visage quand il voyait les énormes mygales essayer de massacrer les Hommes. Pendant qu’il surveillait du haut des escaliers, le reste des gardes essayèrent de soigner les blesser. Ceux-ci étaient gravement atteints par les diverses pattes ou venin mortelle.

Pendant que la troupe essayait quelques mouvements, un miracle entra dans le bâtiment. C’était le Capitaine Boromir avec plusieurs soldats de la gardes royal. À ce moment, la petite troupe était motiver a se battre. Pendant que le Capitaine donnait quelques ordres, Tiburius et plusieurs hommes partirent dans les sous-sols affronter les créatures. Il faut dire que l’homme avec son armure d’acier était plutôt content de voir la troupe se faire battre. Mais ce n’était plus le cas quand une créature lui saute dessus. Cacher à l’arrière d’une toile, elle sauta devant Tiburius. Apeuré par la terreur qu’il avait sous ses yeux, il donna un puissant coup de lame qui coupa l’abdomen en deux. La créature était morte…

C’était presque la fin, pourtant, Tiburius essayait quand même de faire de son mieux. Il coupait les toiles d’araignées pour la troupe. Un travail pas trop forçant, mais bien sur, qui aida beaucoup. Après quelques instants, elles étaient tous mortes enfin. Par la suite, tous le mondes sortirent de cet enfer, le Capitaine invita ceux qui étaient dans la troupe, à aller proche de l’arbre blanc. Il demanda s’il y avait des requêtes pour certain. Ce qui était le plus amusant, c’était que Tiburius réussi à gagné quelques choses même s’il n’était pas dans la Garde de la Cité comme avant. Après de longue minute, le repos était bien mérité pour ceux qui avaient fortement combattu. Pendant ce temps, Tiburius retrouva Darmont, qui était dans la banque. Celui-ci s’apprêtait à partir avec tout ce qu’il avait. C’était bien ce que Tiburius attendait, sa vengeance de tuer le marchant avait grandi de plus en plus en lui. C’était enfin le moment de le tuer. Après quelques interruptions, Tiburius réussi à l’amener à l’extérieur de la cité, vers l’Est. Une bien longue histoire que Tiburius avait inventée pour se rendre là. Mais l’important était presque fait.

-Que voulez-vous ?

-Vous savez mon cher, je suis fortement désolé sur le fait que vous avez perdu votre commerce d’enchère. Et c’est pour cela, que je me propose… moi… Tiburius…de… vous…

-Vous pouvez faire vite ? J’ai autre chose à faire que de vous attendre vous savez ?

C’était les mots que Tiburius attendait, sa main s’approcha de l’épaule du marchant. Un sourire satisfait apparut sur son visage. Un bon mouvement de dague sauvagement planter dans la gorge de l’homme l’attaqua rapidement. Un léger soupire sorti de sa bouche pendant que son sang gisait de tous les coter. Pendant que le corps tombait, Tiburius le soutenait quelques moments pour le laisser tomber au sol par la suite.

-Darmont, mon maître n’a plus rien à faire de toi. Maintenant que ta fille est libre, tu mourras.

Le sang n’arrêtait pas de couler. Le gazon devenait rouge sanglant à mesure de le dire. C’était les secondes que Tiburius aimait le plus, le dernier souffle…
Darmont était maintenant mort, après une vérification, l’assassin laissa le corps au sol pour que quelqu’un le trouve. Il prit la dague poignarder dans la gorge et se leva doucement.

-La Justice est fait, Part et ne reviens plus jamais.

Quelques jours passèrent avant que Tyrael réussi à retrouver son maître, ce fût simple de lui expliquer la mort du Marchant. Le sang sur la dague y était encore. Mais pour ce qui était l’explication de la Relique, c’était très difficile. La colère que son maître lui avait montré était disons, terrifiante. Mais ce n’était pas les idées que celui-ci avait en tête qui était mal. Il donna une autre mission pour que tout cela soit enfin fini…

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